Simplissimo,
la sous-gamme Pastabox de Sodebo

SODEBO est une marque à succès : créée en 1960, elle n’a cessé de se développer en anticipant les demandes montantes de snacking original et qualitatif. Tout va-t-il alors pour le mieux dans le meilleur des mondes du naming ? Pas forcément.

La segmentation de l’offre SODEBO dans l’univers d’origine « Sandwiches » a abouti à 14 gammes, et d’autres offres ont vu le jour (« Pizzas », « BOX », « Salades », » Crêpes et Galettes », « Snacks », « Asiatique ») qui ont elles-mêmes multiplié les dénominations. Résultat : il y a beaucoup de noms, et notre nouveau produit ne simplifie pas le travail du consommateur en lui proposant une triple entrée – selon la marque (« SODEBO »), le segment (« Pasta Box »), et la gamme (« Simplissimo »).

Le sujet décisif n’est donc pas tant celui de l’appellation de la gamme (« Simplissimo » est-il un « bon » ou « mauvais » nom ?)  que celui de l’architecture de marque dans lequel il s’inscrit. Celle-ci doit renforcer la lisibilité et la puissance de l’offre et lutter contre l’ « entropie » de la réussite qui amène à gérer chaque année une masse plus grande de dénominations. C’est pourquoi toute grande marque devrait « checker » son architecture tous les 5 ou 10 ans. Que SODEBO innove et veuille « structurer l’offre box« , c’est évidemment une excellente initiative. Mais celle-ci ne peut prendre toute son efficacité qu’à l’aune d’un regard global sur son portefeuille de noms.

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