Very Bad Kids, very good comm’

Carambar sort de ses traditionnels caramels en proposant des bonbons acidulés au cœur doux. Avec un nom au positionnement rebelle : Very Bad Kids.

L’idée derrière un nom comme celui-ci est sans doute d’exprimer le côté irrévérencieux des adolescents de la manière la plus simple qui soit. Si l’anglais pourrait paraître un choix risqué pour un produit destiné au marché franco-français, c’est surtout une langue à la mode, « cool », que la jeunesse utilise pour se différencier des parents. Une langue de la rébellion, donc. Et pour éviter toute difficulté linguistique, Very Bad Kids ne contient que des mots anglais faciles à prononcer, à écrire, et que tous les Français connaissent bien. Ce choix d’un anglais universel n’est pas sans rappeler la comédie américaine The Hangover (littéralement « La Gueule de Bois »), dont le titre compliqué pour les anglophobes a été changé en Very Bad Trip, au sens plus évident, pour sa sortie dans l’Hexagone.

Very Bad Kids est en tout cas un nom inscrit dans une campagne de communication, et il est bien pensé de ce point de vue. A la fois, Il donne une personnalité farceuse à ces bonbons en forme de personnages, et il s’adresse aux enfants et ados qui se sentent d’humeur facétieuse.

Cet article a été écrit pour le magazine LSA. Retrouvez-le dans le n°2377 du 3 septembre 2015.

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